La rupture (Claude Chabrol, 1970)

Un notable tente de ruiner la réputation de sa bru pour récupérer la garde de son petit-fils après une violente scène de ménage.  La séquence de prégénérique est géniale d’intensité violente, c’est digne du meilleur Fuller. Après, ça devient long, ça manque de concision, une myriade de personnages secondaires diluent le drame initial pour faire dévier le film vers une sorte de vague critique de la médiocrité provinciale. Dommage.

Un commentaire sur “La rupture (Claude Chabrol, 1970)

  1. Critique dure;adaptation d’un roman (moyen) de Charlotte Armstrong qu’il transcende par ses attaques contre la bourgeoisie (il faut entendre Audran dire « ils ont tant d’argent! » ) ,son baroque (la pension et les 3 vieilles :le titre du roman est « le jour des parques » et son titre original « the baloon man ») ,son côté fantastique et son psychedelisme (pas plus daté que celui de Clouzot dans « la prisonnière » .
    c’est à mon sens le film le plus sous estimé de cc

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