Un homme que sa famille croit mort en profite pour changer d’identité.
A la complication froide et théorique du récit de Pirandello (Feu Mathias Pascal, roman où l’humour et l’esprit du maître sicilien font défaut), les adaptateurs Chenal et Vitrac ont ajouté le simplisme dramaturgique et l’interprète Blanchar a adjoint la caricature. D’où un film médiocre.
« roman où l’humour et l’esprit du maître sicilien font défaut »
t’es sûr vraiment ?
oui, j’ai trouvé ça assez sinistre et déplaisant. Le narrateur est tellement antipathique déjà. Je me suis un peu forcé pour le finir.
ah bon. dans mon souvenir c’est plutôt drôle ; m’enfin ça doit être de l’humour de prof de math.