Un moment d’égarement (Claude Berri, 1977)

En vacances, un quadragénaire est séduit par la fille de son pote.

Les acteurs sont bons et les scènes sonnent parfois très juste mais, sous les dehors réalistes (le moment où les filles rentrent de soirée évoque carrément Pialat), la charpente est théâtrale et le récit reste au niveau de la chronique. Comparer Un moment d’égarement avec Breezy de Clint Eastwood le ravale au rang de petite chose étriquée et pusillanime.

2 commentaires sur “Un moment d’égarement (Claude Berri, 1977)

  1. L’affiche de Wolinski est tout à fait dans l’esprit du film qui a son lot de nénettes aux « poitrines bien balancées » (ah la partie de ping pong les -gros- seins à l’air !). Toute une époque : les embouteillages, les loisirs de masse, l’été en bord de mer, les filles (au risque d’insister) très dénudées… Je ne crois pas que le courageux remake qui met d’ailleurs du vin dans son eau (ou l’inverse on ne sait plus très bien) soit si libre question image de la femme… Sinon Lanoux et Marielle sont, c’est vrai, plutôt pas mal.

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