En Norvège, des résistants tentent de neutraliser une usine fournissant de l’eau lourde aux nazis.
Faisant jouer leur propre rôle aux protagonistes de l’histoire, usant et abusant de la voix-off, insérant images d’actualité et commentaires de physiciens, Jean Dréville a réalisé un « docu-fiction » avant la lettre. D’où que le didactisme l’emporte sur le spectaculaire malgré de jolies images des montagnes norvégiennes et une séquence d’infiltration assez réussie. La plus-value par rapport à un article de journal reste minime.
[…] rapport à La bataille de l’eau lourde, c’est l’extrême inverse. Un romanesque usé et facile au service d’une […]
Vous ravivez le souvenir d’enfance d’avoir vu ce film pendant mon année de CM2, en 1968, le seul de ma scolarité primaire. Nous nous étions rendu à pied au centre ville, sagement rangés deux par deux. J’avais gardé l’idée d’un film documentaire en noir et blanc qui m’avait intéressé, et j’étais déjà passionné d’histoire.