Carrefour (Teinosuke Kinogasa, 1928)

Une soeur veut protéger son frère mêlé à une bagarre pour une prostituée ayant mal tourné.

C’est un peu moins inintéressant qu’Une page folle, car moins confus. Mais l’abstraction générale, à la manière des pires films du Kammerspiel, rend le récit particulièrement vain.

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