La méprise (Alan Bridges, 1973)

Une jeune veuve de l’aristocratie anglaise retrouve le goût de la vie grâce à un chauffeur…

Cela commence comme une jolie bluette mais c’est en fait un mélodrame très cruel parce que ce qui était promis par le début n’adviendra pas. Sarah Miles est excellente, comme toujours lorsqu’elle tient ce genre de rôle. C’est sans doute la relative platitude de la mise en scène d’Alan Bridges qui a empêché cette palme d’or de passer à la postérité. Pas indigne mais pas génial non plus.