Le cocu magnifique (Antonio Pietrangeli, 1964)

Trompant son épouse, un bourgeois italien s’imagine que celle-ci le trompe également.

Un récit qui s’enlise dans des situations répétitives, l’abus de séquences fantasmatiques et une voix-off qui peine à donner le change font de Un cocu magnifique une comédie italienne des plus ennuyeuses. Pas grand-chose à se mettre sous la dent à part un pseudo strip-tease de Claudia Cardinale.

Je la connaissais bien (Antonio Pietrangeli, 1965)

Une ouvreuse de cinéma tente de devenir actrice en fréquentant les milieux mondains…

La confusion du découpage, l’absence de progression dramatique et la distance entretenue par l’auteur vis-à-vis de personnages fondamentalement inintéressants expliquent sans doute pourquoi cette pâle vulgarisation de La dolce vita est tombé dans un oubli aussi profond que juste.