L’amour n’est pas un péché (Claude Cariven, 1952)

Une association féministe et une association anti-féministe se retrouvent à siéger sur le même palier.

L’intrigue apparaît d’autant plus inepte qu’elle n’est étayée que par d’inoffensifs clichés. Claude Cariven n’a absolument rien à dire sur le féminisme. Toutefois, les apartés burlesques des branquignols épicent la sauce. Le personnage de Louis de Funès est particulièrement drôle et surprenant. Bref, L’amour n’est pas un péché est un film très moyen dont l’intérêt est rehaussé par une inventivité comique assez inédite.