Différents hommes et femmes profitent de l’été pour aller draguer sur la côte d’Azur.
Je n’ai pas lu la bande dessinée de Reiser mais les auteurs ne se sont visiblement pas préoccupés de la transcription d’un médium vers un autre tant le découpage s’apparente à une succession de vignettes dénuée de liant. C’est indigent, invertébré et, tel Hara-Kiri, « bête et méchant ».