Un chanteur de county en tournée.
Ce film invertébré tant dans sa structure narrative que dans son découpage ne présente aucun intérêt. J’ai rarement un road-movie américain montrant aussi peu les paysages dans lesquels il se déroule.
Un chanteur de county en tournée.
Ce film invertébré tant dans sa structure narrative que dans son découpage ne présente aucun intérêt. J’ai rarement un road-movie américain montrant aussi peu les paysages dans lesquels il se déroule.
Note dédiée à Pascal
Un employé de banque qui détournait des fonds se fait harceler par un braqueur s’estimant lésé…
Un astucieux polar canadien dont la variété de tons surprend. La narration qui avance par méandres autour d’un personnage ambivalent préfigure les films de Robert Duvall. Ce détachement nimbé de discrète empathie, auquel s’accorde idéalement la présence nonchalante de Elliot Gould, n’empêche pas certaines séquences, telle celle quasi-horrifique du premier coup de fil, d’être dramatiquement très intenses. Des déficiences occasionnelles de la mise en scène, tel le découpage ne restituant pas les enjeux des regards dans la séquence où la fille jouée par la sublime Céline Gomez se fait assassiner, n’empêchent pas The silent partner de s’avérer un des polars les plus attachants de sa décennie.