A la mort de sa tante, une femme va dans sa propriété et voit surgir des souvenirs d’enfance.
Visuellement soigné et narrativement alambiqué, Oriana évoque les films de Victor Erice, en plus creux. La bande-son, qui compile Bach, Fauré et Beethoven sans génial esprit d’à-propos, est particulièrement révélatrice de la putasserie festivalière de ce bouzin franco-venezuélien.