Les chalands (Georges-André Lacroix, 1911)

Au grand dam de ses parents, la fille d’un marinier épouse « un gars du rivage ».

Le sens du cadre donne une certaine consistance à cette intrigue trop succinctement développée (le découpage reste primitif). Les chalands annonce un courant du cinéma français qui va de L’hirondelle et la mésange à L’Atalante.