Un maton qui trempe dans des trafics louches fait un choix décisif lorsqu’un chef activiste noir arrive dans sa prison.
Un polar bavard, décousu et vague dont la surprenante fin affirme cependant la personnalité. Le charme de la rare Kay Lenz ainsi que le drame qui se noue dans la dernière partie (bien tardivement) rendent ce Fast-Walking regardable. James Woods est sympathique mais un peu trop cabotin.