Après avoir fait capoter un mariage arrangé parce que son fiancé avait une maîtresse, une jeune femme s’installe à son compte et est soutenue par une décoratrice qui règne sur le monde parisien…
Typiquement le genre de film plus intéressant par ses thèmes, que l’on qualifiera d’audacieux compte tenu de l’époque (liberté sexuelle, lesbianisme, toxicomanie), que par leur traitement, que l’on qualifiera de tout à fait conventionnel. La fin fait rentrer l’héroïne dans le rang à peu de frais. La mise en scène oscille entre approximation (le découpage de la confrontation finale) et application de recettes éprouvées (les travellings sur les corps à moitié dénudés pendant l’orgie).