Après avoir divorcé, une femme se rend compte que son nouvel époux lorgne une jeune fille de leur entourage…
Scénario moralisateur et mise en scène plate. Jeanne Moreau, alors tout juste vingtenaire, est très belle.
Après avoir divorcé, une femme se rend compte que son nouvel époux lorgne une jeune fille de leur entourage…
Scénario moralisateur et mise en scène plate. Jeanne Moreau, alors tout juste vingtenaire, est très belle.
Un second débarqué dans un pays exotique après avoir fricoté avec la femme du capitaine s’allie avec le potentat local pour dérober la cargaison d’or de son ancien navire.
On comprend que le grand Jacques Becker ait plus ou moins escamoté son premier long-métrage, abandonné en cours de route et achevé par Jean Stelli, de sa filmographie. Non seulement, c’est une ineptie mais de plus, toutes les scènes potentiellement spectaculaires ont lieu hors-champ et sont racontées a posteriori par des témoins (on imagine aisément les problèmes ayant pesé sur la production). Le cabotinage de Charles Vanel en général Tapioca est parfois amusant et on peut voir la rare et belle Conchita Montenegro. C’est tout.
La vie d’une nourrice qui aime les enfants dont elle s’occupe mais régulièrement obligée de s’en séparer.
Lénifiant.