Le cimetière de la morale (Kinji Fukasaku, 1975)

Un électron libre fout le bordel chez les yakuzas. Cela n’est pas très intéressant car le personnage se limite à un être pulsionnel (auto)destructeur. Il n’y a que la fin qui lui donne une épaisseur inattendue. C’est un peu tard et ça ne donne rétrospectivement  pas plus d’intérêt aux séquences de tueries qui ont précédé. Ajoutons que le réalisateur n’a aucun sens de l’espace. Formellement, c’est de toute façon très fouillis avec notamment des passages injustifiés du NB à la couleur.  Bref, c’est pas loin d’être complètement nul.