L’amour sans préavis (Two weeks notice, Marc Lawrence, 2002)

Afin de sauver un centre social, une avocate gauchiste se met à travailler pour un jeune et beau magnat de l’immobilier.

Comédie romantique cousue de fil blanc, très moyennement interprétée et souvent laidement photographiée (les plans de nuit sont mieux) mais pas complètement nulle: c’est parfois drôle (le passage en plan très large lorsque les dialogues deviennent de plus en saugrenus, raccord qui renforce le comique) et une idée assez neuve ressort finalement: l’infaillibilité est un handicap en amour.