Une serveuse de pub s’inquiète de ne jamais revoir son fiancé parti à la guerre.
Une nouvelle preuve de l’infériorité du cinéma anglais dans les produits de consommation standard, malgré un ancrage assez intéressant dans un quartier populaire de Londres (reconstitué en studio): la star est laide et chante mal, le jeu des acteurs sonne parfois complètement faux à force de surjeu théâtral, la photographie est d’une absolue platitude et le rythme est poussif.