Une Parisienne (Michel Boisrond, 1957)

La fille d’un président du conseil s’entiche du directeur de cabinet de son père qui est un invétéré séducteur.

Malgré la présence de Brigitte Bardot, Une Parisienne n’est qu’un très pâle ersatz français de comédie de remariage à cause, en premier lieu, d’une écriture extrêmement paresseuse.

Le chemin des écoliers (Michel Boisrond, 1959)

Pendant l’Occupation, un lycéen dont le père est honnête gagne beaucoup d’argent en faisant du marché noir.

Le noir roman de Marcel Aymé a beau avoir été transformé en une comédie inoffensive, l’étincelante distribution maintient cette comédie vivante et le rythme ne s’enlise pas (le tout a le mérite de durer moins de 80 minutes). Edulcoré mais pas mauvais.