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Ce film est la suite de La féline. Le mari d’Irena s’est remarié, a eu une petite fille et semble déterminé à oublier son passé. Mais il s’inquiète de sa fille qui s’invente des amis imaginaires…
Le scénario est moyen, on peut s’interroger sur la nécessité dramatique du personnage de Simone Simon, mais la mise en scène merveilleuse (au sens, disons, Spielberg du terme) rend le film très agréable à regarder. La lumière sur la jardin enneigé est enchanteresse. La malédiction des hommes-chats est beaucoup moins ténébreux, moins pessimiste que La féline mais on retrouve la patte du producteur Val Lewton même si cette suite est moins aboutie stylistiquement (en terme de concision notamment).