Entre 1939 et 1940, l’idylle entre une télégraphiste et un chauffeur de taxi, contrariée par la légèreté de l’homme ainsi que par la guerre d’Hiver.
Spectaculaire et violente, la dernière partie relève du film de guerre, avec un final bien sûr propagandiste et irréaliste, mais la majorité du métrage ressort de la romance légère, ancrée dans le quotidien et la réalité sociale (les personnages qui travaillent, passent leurs examens…). Dans l’ensemble, Machenka touche par sa fraîcheur et simplicité. Ces qualités résultent notamment de l’interprétation de Valentina Karavayeva et d’une caméra souple et attentive. Joli film.