Angel in exile (Allan Dwan, 1948)

Après un séjour en prison, un braqueur va chercher son butin planqué dans un village près du Mexique où les gens sont très croyants…

Une fable surprenante et variée (au niveau du ton) où le héros évoluera suite à son séjour dans une communauté dont le cinéaste excelle à montrer la mythique harmonie. C’est très typique d’Allan Dwan et c’est simplement beau. Adela Mara, sorte de Natalie Wood de série B, ne manque pas de charme.

5 commentaires sur “Angel in exile (Allan Dwan, 1948)

  1. ah, content que ça vous ait plu ! Si vous avez lu la notule de Lourcelles il n’en tarit pas d’éloges. C’est peut-être un poil exagéré mais n’empêche que j’ai moi-même marché à fond devant ce petit film !

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