Remparts d’argile (Jean-Louis Bertuccelli, 1969)

Dans un village du Sahara, l’armée arrive après que les hommes, travaillant dans une carrière, se sont mis en grève.

Jean-Louis Bertuccelli a beau avoir eu un coup de coeur pour un village du Sahara, son film n’apparaît que comme une compilation des tics du cinéma absurde et conceptuel de son époque. Dramatiquement, esthétiquement, didactiquement et politiquement, c’est nul. Remparts d’argile est un film aussi vain que du Miklos Jancso (sans en avoir la virtuosité formelle).