La collection Ménard (Bernard Roland, 1944)

Une jeune fille indochinoise cherche son père dont elle sait qu’il s’appelle « Paul Ménard » à Paris.

Un navet pur et simple qui a le mérite d’avoir inspiré à Lucien Rebatet un brillant éreintage dans Je suis partout à une époque, le printemps 44, où les critiques de cinéma parisiens n’avaient pas grand-chose à se mettre sous la dent.