Un dramaturge renommé rencontre une guide d’un musée de province qui suscite chez lui une crise existentielle.
J’ai rarement vu un film aussi mal découpé. Cadres et raccords n’ont aucun sens, c’est imbitable.
Un dramaturge renommé rencontre une guide d’un musée de province qui suscite chez lui une crise existentielle.
J’ai rarement vu un film aussi mal découpé. Cadres et raccords n’ont aucun sens, c’est imbitable.
En URSS, la présidente d’un soviet local se remémore sa vie lorsque son fils décède accidentellement.
Intéressante car concrète plongée dans la vie sociale et familiale d’une responsable soviétique qui, sans le critiquer franchement, n’élude pas certains aspects déplaisants du régime communiste (la censure). Les liens entre vie politique et vie privée sont restitués avec une certaine justesse. C’est long mais c’est probablement le meilleur rôle de Inna Tchourikova et un des films intéressants de Gleb Panfilov.
Une jeune provinciale se découvre une vocation d’actrice lorsqu’elle est choisie par un cinéaste pour jouer Jeanne d’Arc.
La laideur de Inna Tchourikova est difficile à surmonter. La mise en parallèle du « film dans le film » sur Jeanne d’Arc avec les pérégrinations sentimentalo-professionnelle de cette jeune Russe n’engendre rien d’intéressant.
Dans un coin de Russie pendant la révolution bolchevik, une infirmière fait son éducation sentimentale…
Gleb Panfilov a un beau sens du cadrage mais il n’a pas de sens dramatique.