Journal intime/Journal à mes enfants (Márta Mészáros, 1984)

En Hongrie, en 1947, une adolescente orpheline est confiée à une apparatchik.

Quoique sans éclat, la mise en scène traduit les ravages du totalitarisme communiste sur la cellule familiale avec autant de finesse que Vie et destin (même si ce film hongrois n’a, bien sûr, pas l’ampleur du chef d’oeuvre absolu de Vassili Grossman).