Dans les années 30, la maîtresse d’un riche homme d’affaire est diagnostiquée lépreuse et décide de tout quitter pour un hôpital aux antipodes.
Télésuite en deux parties, d’après Guy des Cars. La première partie est très belle, montrant l’évolution heurtée d’une héroïne souvent antipathique, avec un habile mélange de mélodrame, d’exotisme et de mystère. On songe à Vaudou, à Frontière chinoise, à Amok…En revanche, la seconde partie figure l’aboutissement de ce qui s’est avéré un chemin de croix de la façon la plus univoque et redondante qui soit, quoique parfois sublime (le plan devant la statue dans le jardin).