Un jeune homme décroche un emploi dans un bureau…
L’abstraction abusive de l’environnement et la dilution totale de la dramaturgie font de Il posto un film parfaitement creux. Le « héros » anémié est pire qu’une une tête à claques, c’est une tête à coups de talons de santiags. Figurez-vous un film de De Sica/Zavattini qui serait « mis en scène » par Antonioni. L’horreur.