Morning departure (Roy Ward Baker, 1950)

Pendant un exercice de routine, un sous-marin britannique coule…

Les comédiens sont bons mais l’inébranlable sobriété du ton, si elle évite tout excès de mauvais aloi, fait virer le film vers le « terne et appliqué » d’autant que l’origine théâtrale est patente (arbitraire d’une narration ne gardant dans la dernière partie que les personnages sur lesquels elles s’était focalisée au début). Pas mal mais à des années lumières d’un Men without women .