Les parias de la vie (The good bad man, Allan Dwan, 1916)

Dans le Wyoming, un bandit qui donne ses butins aux orphelins retrouve l’assassin de son père.

La mise en scène enlevée et parfois grandiose (des plans très larges pleins de cavaliers) ainsi que l’interprétation bondissante de Douglas Fairbanks transfigurent une dramaturgie des plus conventionnelles.