L’étoile cachée (Ritwik Ghatak, 1960)

Une jeune femme supporte le poids de sa famille pauvre.

Réputé comme le chef d’oeuvre du cinéaste indien Ritwik Ghatak, L’étoile cachée est un mélodrame social raté parce que, bouffi par des prétentions symbolistes, le réalisateur ne se soucie aucunement de continuité dans son montage et son découpage. Chacun de ses raccords paraît incongru. Les dissonances systématiques ne produisent aucune émotion mais empêchent le spectateur de rentrer dans une histoire déjà fort peu intéressante à la base (l’intrigue est un mélo tout ce qu’il y a de plus conventionnel). Faute d’un découpage ordonné et d’une mise en scène digne de ce nom, l’espace n’est pas correctement restitué et les personnages ne sont jamais intégrés à leur environnement social et géographique. D’où un film qui demeure décharné et théorique d’autant que l’intrigue avance plus par des tunnels de dialogue que par l’action.

Réputé comme le chef d’oeuvre de Ritwik Ghatak, L’étoile cachée est un mélodrame social raté parce que, bouffi par des prétentions symbolistes,
le cinéaste ne se soucie aucunement de continuité dans son montage et son découpage.
Chacun de ses raccords paraît incongru. Les dissonances systématiques ne produisent aucune émotion mais
empêchent de le spectateur de rentrer dans une histoire déjà fort peu intéressante à la base (l’intrigue est un mélo tout ce qu’il y a de plus conventionnel).
Faute d’un découpage ordonné et d’une mise en scène digne de ce nom, l’espace n’est pas correctement restitué et les personnages ne sont jamais intégrées à leur environnement.
D’où un film qui demeure décharné et théorique d’autant que l’intrigue avance plus par des tunnels de dialogue que par l’action.
Réputé comme le chef d’oeuvre de Ritwik Ghatak, L’étoile cachée est un mélodrame social raté parce que, bouffi par des prétentions symbolistes,
le cinéaste ne se soucie aucunement de continuité dans son montage et son découpage.
Chacun de ses raccords paraît incongru. Les dissonances systématiques ne produisent aucune émotion mais
empêchent de le spectateur de rentrer dans une histoire déjà fort peu intéressante à la base (l’intrigue est un mélo tout ce qu’il y a de plus conventionnel).
Faute d’un découpage ordonné et d’une mise en scène digne de ce nom, l’espace n’est pas correctement restitué et les personnages ne sont jamais intégrées à leur environnement.
D’où un film qui demeure décharné et théorique d’autant que l’intrigue avance plus par des tunnels de dialogue que par l’action.

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