Une bande d’amis fait le deuil d’un des leurs.
Memory Lane apparaît comme une succession de saynètes triviales pleines d’un minable entre-soi (l’auteur semble ainsi avoir un sinistre rapport à l’altérité musicale) qui ne sont reliées entre elles que par un récit inconsistant mais qui sont enrobées par un filmage pseudo-cosmico-mélancolique quelque peu systématique dans ses effets (jolie lumière automnale, vent dans les arbres, agaçante diction chuchotée, folk-pop insignifiante). Bof.
Une critique magnifiquement enthousiaste ici.
Je trouve ça très joli, très attachant, Memory lane et l’ensemble du cinéma de M. Hers :
http://nightswimming.hautetfort.com/archive/2011/09/08/memory-lane-et-le-cinema-de-mikhael-hers.html
« un beau film d’ambiance »
c’est pas mal vu. Mais ce n’est pas mon truc (de même que la musique d’ambiance).