Nomads (John McTiernan, 1986)

Pendant qu’elle le soigne, une jeune neurologue est frappée par un fou ensanglanté qui meurt aussitôt. Plus tard, la neurologue a des hallucinations correspondant à la vie de cet homme qui était un ethnologue réputé qui venait d’emménager dans une banlieue américaine et avait commencé à enquêter sur des nomades urbains nihilistes et meurtriers.

Une série B encore plus fumeuse que ce résumé ne l’indique. C’est dire. Et laid (musique atroce) et mou qui plus est.

3 commentaires sur “Nomads (John McTiernan, 1986)

  1. parce que c’est un des cinéastes contemporains les plus importants.
    Un génie de la mise en scène par ailleurs digne héritier des contrebandiers de la grande époque d’Hollywood.
    Il y a eu un bon article à propos de lui dans les Cahiers cette année. Signé Malausa. Je te le recommande.

    Celui-ci est un premier film raté mais Piège de cristal, Octobre rouge (je sais que tu n’es pas d’accord pour celui-ci mais on en a déjà discuté), Last action hero et Thomas Crown sont de grands films.

  2. Héhé ! Je suis le cul entre deux chaises. A la fois d’accord avec toi, Christophe, pour défendre McTiernan sur certains films (les deux « Die Hard » sont très bien, j’aime beaucoup « L’affaire Thomas Crown ») mais aussi de l’avis de P.Tom pour dire que c’est un cinéaste inégal et un peu surestimé (« Predator », c’est horrible et j’ai le souvenir de m’être ennuyé à mourir devant « Octobre rouge »). Je ne comprends pas ce fol enthousiasme qui accueille cette rétrospective…

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