La campagne de Cicéron (Jacques Davila, 1989)

Pseudo-marivaudage entre bobos dans une maison de campagne.

Ce canevas canonique du cinéma français est vidé de toute substance par l’absence de rythme dans la narration, la nullité de la dramaturgie, le décalage sans objet de la direction d’acteurs et les dialogues gratuitement saugrenus. Reconnaissons toutefois une sensibilité de coloriste, aussi vaine qu’éclatante.

2 commentaires sur “La campagne de Cicéron (Jacques Davila, 1989)

    • merci du lien. (je suis d’accord sur le « entre Rohmer et Vecchiali », mais je trouve que ce mariage de la carpe et du lapin ne fonctionne pas du tout)

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