Le dibbouk (Michal Waszynski, 1937)

L’esprit de son amoureux décédé prend possession du corps d’une jeune fille que son père souhaite marier à un riche, envers et contre une promesse faite à son ami qui était le père de l’amoureux.

Le film yiddish le plus célèbre et le plus ambitieux n’en souffre pas moins d’une mise en scène indigente -aspirant à Murnau mais préfigurant Ed Wood- et de gros problèmes de rythme (accentués en version longue mais existants en version courte).

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.