Au Niger, un ingénieur qui voulait entreprendre de grands travaux d’irrigation disparaît avec l’aide de son ami médécin lorsqu’il apprend qu’il a attrapé la lèpre.
Derrière le mélo colonial à l’écriture souffreteuse (théâtral et mal construit), il y a un étonnant et digne mélo homosexuel. Les séquences entre Harry Baur et Victor Francen sont d’une belle force émotionnelle.