Yaé, ma petite voisine (Yasujirō Shimazu, 1934)

Les relations d’une jeune fille et de sa soeur, qui a quitté son mari, avec leur voisin.

Dans cette mignonne petite chronique façon Ozu des débuts, une béance surgit (un fait immensément triste n’est que suggéré par le découpage, ce qui entretient l’incertitude aussi bien que la mélancolie) qui fait grandement relativiser la « modernité » de L’avventura.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.