Les relations d’une jeune fille et de sa soeur, qui a quitté son mari, avec leur voisin.
Dans cette mignonne petite chronique façon Ozu des débuts, une béance surgit (un fait immensément triste n’est que suggéré par le découpage, ce qui entretient l’incertitude aussi bien que la mélancolie) qui fait grandement relativiser la « modernité » de L’avventura.