Quelle joie de vivre (Tay Garnett, 1938)

Une vedette de la chanson exploitée par sa famille tombe amoureuse…

Screwball-comedy convenue, plutôt faible quant aux gags mais prestement rythmée et rendue assez sympathique par son couple d’acteurs principaux et son dénouement qui envoie allègrement valdinguer la valeur « famille ».

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