Vertige d’un soir/La peur (Victor Tourjansky, 1936)

Après s’être abandonnée dans les bras d’un pianiste, une mère de famille vit un enfer…

En dehors de l’astucieux rebondissement final, un mélodrame des plus conventionnels. Le style, dénué de nerf, semble dater des débuts du parlant et non de 1936.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.