Quai de Grenelle (Emile Edwin Reinert, 1950)

Pour n’avoir pas traversé sur le passage clouté, un chasseur de vipères est injustement accusé d’un braquage de banques.

La totale débilité de la construction dramatique censée agencer les divers clichés du récit ainsi qu’une lourde tendance à la salacité gratuite sont révélateurs du mépris que pouvait alors avoir Jacques Laurent pour le cinéma et les cinéphiles.

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