La rue sans nom (Pierre Chenal, 1934)

Un bandit en cavale s’incruste avec sa fille chez un ancien complice devenu père de famille ouvrier.

Visiblement très influencé par Pabst, Pierre Chenal a privilégié l’esthétisme à la fluidité. Force est de constater que le roman de Marcel Aymé est beaucoup plus riche d’évocations et d’émotions que son adaptation cinématographique (à propos de laquelle fut pour la première fois employée l’expression « réalisme poétique »).

2 commentaires sur “La rue sans nom (Pierre Chenal, 1934)

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